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36 Heures à L'ISPO, Le Plus Grand Salon Du Sport Au Monde

36 Heures à L'ISPO, Le Plus Grand Salon Du Sport Au Monde
36 Heures à L'ISPO, Le Plus Grand Salon Du Sport Au Monde

Vidéo: 36 Heures à L'ISPO, Le Plus Grand Salon Du Sport Au Monde

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Anonim

Quand je dis que l’ISPO est un événement massif, je ne lui rend pas justice. Qu'est-ce que l'ISPO? Pourquoi, c’est le plus grand salon mondial d’articles de sport et de vêtements, et il a lieu chaque année à Munich, le centre d’exposition allemand Neue Messe München, qui occupe 16 bâtiments de la taille d’un entrepôt et plusieurs hectares d’espace extérieur.

Les chiffres ici sont presque trop grands pour être calculés, comme lorsque quelqu'un essaie de saisir une unité astronomique, mais essayons quand même: la capacité intérieure de ce centre d'exposition est d'un peu plus de 1 973 503 pieds carrés. Une maison de 7 000 pieds carrés est considérée comme un manoir spacieux comme mon plus grand métrique. Donc, pour résumer: vous pouvez installer plus de 280 manoirs de 7 000 pieds carrés dans l'espace intérieur de cette installation.

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Mais dans le cas de l'ISPO (en anglais, l'acronyme se traduit par le Salon international des articles de sport et des vêtements de sport, et il se prononce iss-poe, au cas où vous vous poseriez la question), au lieu de résidences, les halls sont remplis de marques montrant tout des derniers packs de randonnée aux matériaux d'isolation de pointe en passant par les meilleurs ballons de football, les planches de paddle standard en passant par une technologie de projection holographique nouvelle était toujours cool). Près de 3 000 exposants différents ont installé des stands, certains de la taille d'un dressing, d'autres suffisamment grands pour contenir une piscine entière. Nous y reviendrons plus tard, mais en bref, si vous voulez voir essentiellement tout ce qui concerne les articles de sport et les vêtements, vous le verrez à l'ISPO. Le seul problème est que vous n'avez presque aucune chance de tout voir à moins de marcher sans escale devant les innombrables stands pendant toute la durée du salon de quatre jours. J'ai même parfois fait du jogging, et j'ai encore à peine gratté la surface en deux jours.

J'ai assisté à l'ISPO en tant qu'invité de ColumbiSportswear principalement à l'occasion de la vénérable présidente de la société, Gert Boyle, qui a reçu le prix de la Coupe ISPO en reconnaissance de sa contribution inestimable et de Columbia au monde du sport, à la fois à travers les produits innovants proposés par la société elle-même. ainsi que pour les contributions personnelles que Gert et ses associés ont apportées à des organisations comme les Jeux paralympiques. Gert, qui a 93 ans au moment d'écrire ces lignes, va toujours au travail tous les jours, d'ailleurs. Bien qu'elle ait décidé de ne pas se rendre de son port d'attache de Portland, dans l'Oregon, à Munich pour recevoir le prix, son fils et son petit-fils, respectivement PDG Tim Boyle et ColumbiPrésident Joe Boyle, étaient présents pour la cérémonie. (Encore une chose à souligner ici: son prix n'a jamais été décerné à des non-sportifs auparavant. Gert, la «Tough Mother» comme elle est connue à la suite d'une campagne publicitaire très réussie lancée dans les dernières années du XXe siècle, en a encore cassé une autre. barrière quand elle l'a gagné.)

Ainsi, après un vol aux yeux rouges, une petite débâcle hôtelière et quelques voyages autour de Munich vitaxi et Uber, je me suis retrouvé au centre de convention Neue Messe München tard lundi après-midi. J'étais fatigué, un peu désorienté, et immédiatement submergé par l'immensité du salon ISPO. Même avec les instructions répétées du personnel de l'événement, il m'a encore fallu du temps pour trouver le Columbibooth - un stand qui avait la taille d'une maison unifamiliale standard, soit dit en passant, pour clouer à nouveau le point: c'est une très grande convention.

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Ce stand deviendrait mon havre de paix au milieu d'une circulation piétonnière ininterrompue qui était périodiquement ponctuée de gens qui passaient à vélo, de patins, de scooters et de ces choses étranges qui ressemblaient à des skis avec des roues pneumatiques à chaque extrémité. Des lames de montagne, je suppose? L'une des choses que vous apprenez rapidement en parcourant les couloirs de l'ISPO est que beaucoup de gens qui passent à vélo testent l'équipement pour la première fois et sont loin d'être des utilisateurs experts. Les choses deviennent encore plus intéressantes vers quatre ou cinq heures de l'après-midi, car de nombreux stands commencent à servir de l'alcool à ce moment-là.

Quoi qu'il en soit, ce premier jour, j'ai passé en me promenant sans but et en prenant des photos de choses qui ont attiré mon attention. Celles-ci comprenaient une piscine massive installée au milieu d'une salle dans laquelle les surfeurs et les surfeurs essayaient de nouveaux équipements. Près de cette piscine se trouvait un half-pipe de taille normale dans lequel peu de skateurs qualifiés faisaient des figures aux côtés de quelques patineurs moins qualifiés qui se meurtrissaient devant une foule de badauds. J'ai vu des marques familières comme Osprey et Black Diamond aux côtés d'entreprises que j'aurais appris à connaître comme des acteurs majeurs du marché européen malgré une pénétration relativement faible aux États-Unis, comme Jack Wolfskin, marque allemande de vêtements de plein air qui jouit du même niveau de prestige et de notoriété de la clientèle. comme Columbihas de ce côté de l'étang.

Cette nuit? Bière et saucisses. J'étais à Munich, après tout.

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Le lendemain, je me suis réveillé à 5 heures du matin, ce qui n'avait vraiment aucun sens, étant donné que, dans mon fuseau horaire à la maison, il était avant minuit et que je m'étais couché vers 23h30. heure locale la veille. (Et après peut-être trois heures de sommeil dans l'avion. Eh bien.) J'ai tué quelques heures à lire, à envoyer des courriels et à boire du café, puis je me suis mis sur mon visage de jeu et me suis dirigé vers le Columbibooth, en prétendant que je n'étais pas semi-délirant. Ce matin-là, après tout, je devais interviewer Tim Boyle, le PDG susmentionné de la société ColumbiSportswear. Heureusement, Tim s'est avéré être l'un des PDG les plus affables et les plus abordables de marques mondiales d'un milliard de dollars que je n'ai pas encore rencontrées.

Je vais relayer les détails de cette interview dans un article suivant, mais il suffit de dire que mon temps à parler avec Tim et plus tard avec son fils, Joe, a été éclairant, et pas seulement en ce qui concerne leur marque. Ce que j'ai compris plus pleinement pendant mon séjour à l'ISPO, c'est à quel point les sports de phénomène international sont vraiment. J'ai vu des vendeurs de textiles chinois lors de réunions avec des marques de vêtements américaines. J'ai vu des athlètes européens essayer des ballons de football pakistanais. J'ai vu des concepteurs de matériel d'athlétisme indiens, des fabricants canadiens de patins à glace, une entreprise de chaussures italienne et tout le reste. Si vous vous êtes déjà demandé à quoi ressemble la mondialisation, cela ressemble à ISPO. En quelques jours, de nombreux produits et vêtements utilisés par les athlètes, les aventuriers et les amateurs de plein air trouvent leur place sur le marché de la vente au détail, voire voient le jour, grâce aux rencontres et aux découvertes des hommes et des femmes de l'industrie du sport. faire là-bas dans une banlieue industrielle de Munich.

ISPO est énorme, excitant et écrasant, et si vous aimez le sport et le plein air, vous devez simplement y aller au moins une fois.

Image de vedette gracieuseté de ISPO / Facebook. Toutes les autres photos de Steven John / The Manual.

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